Le temps. Par Amal

Tic toc, les aiguilles de l’horloge tournent en rond et ne s’arrêtent pas.

La journée passe, les mois défilent, les années s’accumulent.

Le temps file entre les doigts, je rouille à petits pas.

La tête pleine de nouvelles : attention, risque de surchauffe !

La tête pleine de questions : attention, risque de surchauffe !

La tête pleine de maux : attention à la surchauffe !

Le temps ne guérit plus. Le temps assomme. Le temps alourdit.

Le temps des ténèbres arrive à grands pas. Les affamés tripleront. Les couples éclateront. Les enfants pleureront. Les vieux crèveront. Les fous continueront le massacre.

Pendant que le temps passe, on continue à tuer impunément des innocents à Gaza.

Pendant que le temps passe, des enfants sont bombardés tous les jours à Gaza.

Pendant que le temps passe, beaucoup de gens meurent du poison injecté et beaucoup d’autres en souffrent.

Pendant que le temps passe, les boutiques ferment et les licenciements augmentent.

Pendant que le temps passe, les gouvernants raclent les fonds de tiroirs pour préserver leur train de vie et celui de leurs alliés.

Pendant que le temps passe, le mois d’avril ressemble à janvier, on se gèle ici: il fait -1 quasi tous les matins depuis une semaine. Brrr, il fait froid… again.

Y a-t-il un bouton pause s’il vous plait, nous n’avons pas le temps de digérer toutes ces dingueries qui nous assaillent.

Y a-t-il possibilité de souffler un instant et de nous laisser le temps de reprendre notre souffle.

Depuis 2020, c’est non-stop sur tout !

Ah non, j’oubliais que nous sommes dans un monde de fous. Il faut juste aller creuser un trou, y mettre sa tête, ne plus bouger et attendre que le déluge passe.

Ah non, ce n’est pas encore ça. Il faut prier fort qu’un sauveur d’une autre planète arrive et délivre les âmes du mal.

Ah, zut, ce n’est pas encore ça, que m’arrive-t-il ? Suis-je en train de dérailler ? Que les mots sont difficiles à dompter en ce moment, ils m’échappent quelques fois.

Rappel à l’ordre : chers mots qui tournicotaient dans ma tête, auriez-vous l’amabilité de vous ranger dans un ordre compréhensif pour que mes lecteurs comprennent ce que je veux dire. By the way : Thanks.

Le temps passe et ce qui était homme devient femme et ce qui était femme devient homme.

Le temps passe et ceux qui demandent un cessez-le-feu pour Gaza, on leur envoie la milice des États pour les faire taire.

Le temps passe et ceux qui clament la vérité, on les persécute quotidiennement pour les faire abandonner le combat.

Le temps passe et on veut nous mettre des puces dans la tête, des puces dans la main et des punaises dans les lits.

Le temps passe et on a saccagé les biens publics et on va mettre des « Albert » — BOT — pour vous faciliter la vie. HAHAHAHAHAHA, laissez-moi rire… C’est déjà la merde avec les humains, alors avec les robots, ça va être très simple : les « Albert » appuieront sur la touche « delete » et votre vie disparaîtra des écrans.

Le temps passe et les USA vivent la pire inflation. Les jeunes adultes retournent chez leurs parents : « pay the rent or pay the food », ils ont choisi la nourriture. Vous savez combien coûte le kg de blanc de poulet chez Costco : 15 $ la livre, soit 30 $ le kilo. Je paye 10,90 € le kilo et si je prends une barquette de 2,5 KG, je paye 22 €, soit 4,4 € la livre, donc 8,8 € le kilo. Chez Pierre Jovanovic et dans sa dernière revue de presse, une pomme vaut 7 $. https://www.jovanovic.com/blog.htm

source Pierre Jovanovic : https://www.jovanovic.com/blog.htm

Einstein : « Time is an illusion ».

Le temps passe et les utérus des femmes sont devenus des marchandises. L’enfant est désacralisé par la bande de psychopathes dégénérés.

Le temps passe et le « wokisme » se dilue dans la société avec force et nous devenons spectateurs de cette immonde déviance.

Le temps passe et on ne peut plus dire : « grosse lesbienne » ou encore « PD » ou « nègre », de même que le roman d’Agatha Christie intitulé : « Les dix petits nègres » devient « Ils étaient dix ». J’ai mal à la tête avec ses conneries.

Le temps passe et Dubaï est noyée dans l’eau. Les influenceurs pleurent leur Ferrari noyée. HAHAHAHA. Bien fait pour vous.

Le temps passe et Mammon se régale des âmes impies. Il les aspire tellement que leurs visages sont devenus ternes et gris.

Le temps passe et les illuminations chimiques de notre MIK RONUS nous précipiteront vers la fin d’un temps.

Le temps passe et on va sacrifier la vache rousse pour déclencher l’apocalypse et faire revenir le Messie.

Le temps passe et la folie a pris place !

5 réflexions sur “Le temps. Par Amal”

  1. Beau texte, cela faisais un moment.

    Ça ne se commande pas et je dois dire que nos «affaires» commençant à être très pesantes, il n’est pas trivial de garder de l’allant.

    Le virtuel s’éloigne à grand pas, l’horreur s’installe. Le niveau de manipulations climatiques est sidérant… la collaboration en la matière mondiale… pas d’exil… mais bon on le savait déjà.

    Le niveau de folie messianique assumée est incroyable, plus encore l’indifférence générale.

    Dans une grande part de l’opposition contrôlée sont encore poussée les habituelles croyances et bouc émissaire : le grand monarque figure providentielle christique qui sanctuarise l’hérédité et le pouvoir dynastique (vs le Dharma, les gens ne comprennent rien à rien) et le 4ème Reich… encore les germains et à travers eux les lignées indo-européennes. Où des roux, ancêtres de phœniciens véritables (cf les théories sur la transmission irlandaise au monde des anciens savoirs post cataclysme ou reset comme on dit de plus en plus).

    De plus en plus quand je regarde les pouvoirs derrière la montée du nazisme, je vois les mêmes mécanismes qui ont amené nombre d’ukrainien à suivre les bandéristes, mais aussi tous les mouvements dit islamistes djihadistes Al qaeda, Daesh, Isis. En miroir des allemands «du quotidien» (on ne parle jamais des pertes humaines de l’Allemagne ces derniers siècles… c’est implicite mais dans nos livres d’Histoire, à toutes les époques, un allemand mort c’est toujours un bon mort…), je paraphrase un maître du logos mdr, les musulmans dans leurs pays vivent des enfers qui émeut peu vus les agissements de leurs SS, mais aussi de leurs guérilleros locaux, jeunes paumés que les pouvoirs occidentaux instrumentalisent.

    Derrière une caste haute, infâme au sens propre ses membres sont peu connus, que l’on ne peut réduire ni à un groupe ethnique ni à une religion. Pour cette caste le sang est tout et leur sang la place au-dessus de notre jugement.

    C’est le détournement du Dharma, l’idéologie du sang…

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